Castelnau de Lévis
Castelnau de Levis vu du port de Terssac.
La tour haute de 35 mètres domine Albi et ses environs.
Castelnau de Lévis
Le château de Castelnau-de-Lévis a été construit en 1235 par Sicard Alaman, vassal du comte de Toulouse Raymond VII, il représentait un bastion avancé des possessions toulousaines (nord de la rivière Tarn) face à la royauté (sud du Tarn). Construit sur un piton rocheux nommé « puy de Bonnafous », le château sera longtemps appelé Castelnau-de- Bonnafous, avant que la famille de Lévis n'en hérite et lui donne son nom. Un village a été construit au pied des murailles à la même époque. De l'ancien château, il ne subsiste que quelques ruines dont une tour de guet dominant la vallée du Tarn et la ville d'Albi et une grande salle rectangulaire de 12 mètres de long sur 5 m de large, voûtée en berceau brisé elle trouve disposée à l'ouest Il doit son piteux état à son rôle de carrière au cours des xixe et xxe siècles. Une restauration partielle depuis le début des années 1980 permet de situer les murs de l'enceinte haute. De l'enceinte basse, ne subsiste qu'une porte fortifiée. La tour, haute de 35 mètres, se compose d'une tour demi-circulaire à laquelle est adossée une tour carrée. Elle comporte trois étages voutés. Chacun d'eux montre des traces d'un plancher disparu qui doublait le nombre d'étages.
Le château de Castelnau-de-Lévis a été construit en 1235 par Sicard Alaman, vassal du comte de Toulouse Raymond VII, il représentait un bastion avancé des possessions toulousaines (nord de la rivière Tarn) face à la royauté (sud du Tarn). Construit sur un piton rocheux nommé « puy de Bonnafous », le château sera longtemps appelé Castelnau-de-Bonnafous, avant que la famille de Lévis n'en hérite et lui donne son nom. Un village a été construit au pied des murailles à la même époque. De l'ancien château, il ne subsiste que quelques ruines dont une tour de guet dominant la vallée du Tarn et la ville d'Albi et une grande salle rectangulaire de 12 mètres de long sur 5 m de large, voûtée en berceau brisé elle trouve disposée à l'ouest Il doit son piteux état à son rôle de carrière au cours des xixe et xxe siècles. Une restauration partielle depuis le début des années 1980 permet de situer les murs de l'enceinte haute. De l'enceinte basse, ne subsiste qu'une porte fortifiée. La tour, haute de 35 mètres, se compose d'une tour demi- circulaire à laquelle est adossée une tour carrée. Elle comporte trois étages voutés. Chacun d'eux montre des traces d'un plancher disparu qui doublait le nombre d'étages.