En 1260, la famille de Vindrac avait reçu ce
fief du comte de Toulouse en, 1281, on
trouve comme propriétaire de Roquereine
Raymond de Vindrac, qui était lié par
contrat avec la bastide de Cordes,
Roquereine représentant pour la cité une
importante défense avancée dans la vallée
du Cérou.
Le château tient son second nom plus récent
de "la Prune" du nom du capitaine de la ville
de Cordes Monsieur De La Prune en poste
en cette place pendant les guerres de
Religion sous le roi Henri III.
Le château fut acquis par le peintre russe
André Lanskoy vers 1957, alors qu'il avait
été abîmé par ses précédents propriétaire, il
l’avait restauré pour s’en servir d’atelier,
avant de le céder vers 1964.
Au nord, demeurent les restes de bâtiments
fortifiés et de remparts crénelés formant
enceinte. Le donjon est abaissé au niveau
des courtines. Mis en valeur par une
exceptionnelle situation, le site fait penser à
un paysage de Toscane.